En cette fête du Travail, l’Association canadienne des professeures et professeurs d’université célèbre les contributions apportées par le mouvement syndical à l’amélioration des conditions d’emploi des travailleurs et travailleuses et de l’équité dans l’ensemble de la société.

Les syndicats ont amélioré la qualité de vie des travailleurs et travailleuses en favorisant la santé et la sécurité au travail, en luttant pour des pensions et des prestations acceptables et en obtenant des congés de maternité et parentaux.

Le mouvement syndical a été et demeure un chef de file dans la lutte contre la discrimination et le harcèlement.

En obtenant de meilleures normes d’emploi et d’importantes protections sociales, les syndicats ont amélioré les moyens de subsistance des travailleurs et travailleuses, de leurs familles et de leurs collectivités.

Dans les collèges et les universités, les syndicats ont vigoureusement défendu l’accessibilité, la qualité, la suffisance du financement public et la liberté académique. Le personnel académique doit faire face à des problèmes qui ressemblent à ceux des personnes travaillant dans d’autres secteurs, comme par exemple la précarisation grandissante du travail et les pressions faites en vue de neutraliser des gains obtenus de haute lutte.

Les assauts législatifs de certains gouvernements, y compris la loi C-377 du gouvernement fédéral et la loi 100 de la Nouvelle-Écosse, nous rappellent que nous devons demeurer unis et vigilants pour protéger nos conditions de travail.

L’ACPPU s’engage à continuer de travailler en toute solidarité avec les syndicats de différents secteurs afin de défendre les droits des travailleurs et travailleuses sur les campus et dans l’ensemble de la population active.

Contact pour les médias

Angela Regnier, agente de communication de l’Association canadienne des professeures et professeurs d’université, 613-726-5186 (bureau), 613-601-6304 (cellulaire)