Le 6 décembre, l’Association canadienne des professeures et professeurs d’université (ACPPU) souligne la Journée nationale de commémoration et d’action contre la violence faite aux femmes.
Nous nous souvenons des 14 femmes qui ont été tuées lors de la fusillade survenue à l’École Polytechnique de Montréal il y a 34 ans :
Geneviève Bergeron, Hélène Colgan, Nathalie Croteau, Barbara Daigneault, Anne-Marie Edward, Maud Haviernick, Maryse Laganière, Maryse Leclair, Anne-Marie Lemay, Sonia Pelletier, Michèle Richard, Annie St-Arneault, Annie Turcotte et Barbara Klucznik-Widajewicz.
La violence fondée sur le genre est toujours une menace dans les universités et les collèges, comme le démontre la récente attaque au couteau motivée par la haine perpétrée à l’Université de Waterloo. L’ACPPU se joint au Congrès du travail du Canada pour demander au gouvernement fédéral de mettre en œuvre la Convention 190 de l’OIT sur l’élimination de la violence et du harcèlement au travail.
En ce jour, l’ACPPU s’engage à nouveau à lutter contre la haine, la misogynie et la violence.