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Les membres du Comité de direction de l’ACPPU 2020-2021

Les membres du Comité de direction de l’ACPPU 2020-2021

[Rémi Thériault]

Brenda Austin-Smith

PRESIDENT / PRÉSIDENTE
MANITOBA/UMFA

En cette année sans précédent, la crise sanitaire et la crise économique qu’elle a entraînée ont exacerbé des enjeux de longue date dans le milieu de travail académique et en ont fait surgir de nouveaux. Afin de surmonter cette double crise et en sortir renforcés, nous devons miser sur le pouvoir politique des membres et soutenir le développement de l’éventail complet des compétences des militants — de la négociation à la gestion de campagnes en passant par les communications. Nous devons nous mobiliser comme jamais auparavant, non seulement au sein de nos propres organes collégiaux comme les sénats et les conseils de faculté, mais aussi par nos liens étroits avec nos étudiants, nos communautés et d’autres groupes qui partagent nos valeurs dans le but de servir au mieux l’intérêt général. Malgré l’isolement et la distanciation imposés par la pandémie, nous devons trouver de nouvelles façons de nous mobiliser et de militer en tant que porte-parole du personnel académique, pour continuer à défendre le travail académique, ainsi qu’une éducation postsecondaire de grande qualité et abordable. Il est temps d’aller de l’avant, de nous serrer virtuellement les coudes pour affronter les obstacles qui menacent de nous diviser et de nous affaiblir. Nous sommes plus forts ensemble.

Peter McInnis

VICE-PRESIDENT / VICE-PRÉSIDENT
ST. FRANCIS XAVIER/ST.FXAUT

Mes deux mandats en tant que vice-président de l’ACPPU m’ont permis d’élargir les activités liées à la défense des intérêts pour les syndicats de personnel académique et, plus largement, aux enjeux qui menacent l’éducation postsecondaire tant à l’échelle nationale qu’internationale. En passant de la présidence de mon association de personnel académique au militantisme actif auprès d’associations provinciales et nationales, j’en suis venu à m’impliquer dans un large éventail de campagnes, plus particulièrement pour la liberté académique et la permanence de l’emploi. Je suis étroitement associé au Comité de la liberté académique et de la permanence de l’emploi depuis sept ans et je crois fermement que ces principes demeurent l’assise du « travail académique ». En tant que vice-président, je soutiens les actions de la présidente et du Comité de direction, du directeur général et du personnel de l’ACPPU en vue d’améliorer les conditions de travail des membres et de protéger les droits professionnels. En tant que chercheur universitaire en études du travail, je continue de puiser dans ces expériences au sein de l’ACPPU l’énergie qui me permet de conjuguer étroitement activités professionnelles et militantisme politique.

Yalla Sangaré

TREASURER / TRÉSORIER
SAINTE-ANNE/APPBUSA

Depuis mars, la transition vers l’enseignement à distance s’est imposée. À court terme, la priorité de l’ACPPU sera de développer des balises pour naviguer dans ce nouvel environnement. La vigilance s’impose. La pandémie semble servir d’alibi pour faire des compressions budgétaires. À moyen terme, il est impératif de faire des progrès sur les questions d’équité, de diversité et d’inclusion au sein des institutions postsecondaires. La création de postes d’administrateurs chargés de l’équité et de structures ne suffit plus. Il faut des résultats concrets. Le focus de l’ACPPU demeure le même : défendre vigoureusement et promouvoir un système d’éducation postsecondaire accessible et de très grande qua-lité. À l’interne, les fondements d’un tel système sont la collégialité et la liberté académique. Un niveau de financement public approprié est nécessaire sur le plan externe. La solidarité à l’égard de nos collègues qui ont un statut précaire et le courage doivent en tout temps nous guider.

James Compton

PAST PRESIDENT / PRÉSIDENT SORTANT
WESTERN/UWOFA

Encore et toujours cette année, l’un des grands défis auxquels se heurte le mouvement syndical en milieu académique réside dans la solidarité. D’importantes forces centrifuges se conjuguent pour nous diviser dans l’université néolibérale. Les membres du corps professoral sont dressés les uns contre les autres dans un jeu de gagnant-perdant où la lutte pour les maigres fonds de recherche et la reconnaissance crée un collégium fortement stratifié composé de nantis et de démunis. L’issue la plus inacceptable demeure le traitement scandaleux réservé au personnel académique contractuel. Nous constatons les mêmes tensions au sein des unités académiques où la gestion par centres de responsabilité impose la loi d’airain des budgets fondés sur des incitatifs. Le sénat, qui était le foyer de l’action collective de bonne foi favorisant la consolidation de la communauté universitaire, ne sert plus qu’à entériner les décisions prises en haut lieu. Cela n’est pas nouveau, mais dans le contexte de la pandémie de COVID-19, les inégalités sont accentuées et exposées au grand jour. Comme nous n’avons plus accès à nos outils normaux d’action collective, nous devrons nous rabattre vers des formes de solidarité en ligne. C’est tout ce que nous avons en ce moment.

David Newhouse

REPRESENTATIVE-AT-LARGE / Aboriginal
REPRÉSENTANT ORDINAIRE / Autochtone
TRENT/TUFA

Les universités et collèges répondent à la Commission de vérité et réconciliation en mettant en place des plans d’autochtonisation. En règle générale, ces plans préconisent l’embauche d’un plus grand nombre d’Autochtones au sein du personnel académique, la création de programmes d’études autochtones, l’intégration d’Autochtones au sein du personnel administratif et des structures de gouvernance des universités, le soutien à la recherche en matière autochtone et l’intégration des savoirs autochtones dans le milieu académique. Pour moi, en tant qu’Haudenosaunee, cet immense projet revient à « rallonger les chevrons » pour pouvoir accueillir une nouvelle famille dans la maison-longue. Il suscitera des tensions sur les plans des conditions de travail, du soutien à la recherche, de l’établissement de relations avec les collègues et les communautés et de l’évaluation du rendement individuel, entre autres. Le Groupe de travail sur l’éducation postsecondaire des Autochtones travaille actuellement à la réalisation d’un sondage national sur l’expérience des membres du personnel académique autochtone dans les universités canadiennes. J’ai mené un sondage auprès du personnel académique ontarien l’an dernier dont les résultats seront publiés cet automne. J’ai bon espoir que ces sondages contribueront à fournir les connaissances qui nous font actuellement défaut de sorte que les associations locales puissent mieux soutenir leurs membres autochtones.

Serge Jolicœur

REPRESENTATIVE-AT-LARGE / Francophone
REPRÉSENTANT ORDINAIRE / Francophone
MONCTON/ABPPUM

Le mandat du comité des francophones est de conseiller le comité de direction sur les questions intéressant le personnel académique francophone dans les établissements francophones, bilingues et anglophones. La fragilité du français en milieu minoritaire est au cœur de nos préoccupations, par l’importance de l’offre de programmes postsecondaires en français pour la vitalité et le développement des communautés francophones du pays. Les développements récents concernant la Faculté Saint-Jean (Université de l’Alberta), la décision du Conseil scolaire du district de Toronto d’abandonner les programmes d’immersion française au primaire (alors que l’Université de l’Ontario français ouvrira ses portes en 2021) et les retombées de la décision récente de la Cour suprême sur les écoles françaises en Colombie-Britannique, font partie de nos discussions. Nos actions portent aussi sur les conditions de travail du personnel francophone des collèges et universités canadiens, notamment dans le contexte de la réponse des établissements postsecondaires à la crise sanitaire actuelle.

Laurence McFalls

REPRESENTATIVE-AT-LARGE / Quebec
REPRÉSENTANT ORDINAIRE / Québec
MONTREAL/SGPUM

Alors que la liberté académique est menacée de toutes parts, ouvertement aussi bien qu’insidieusement, l’ACPPU doit la défendre en usant de sa force collective surtout dans les contextes où tant les individus que les associations locales ne peuvent se faire entendre. Malgré l’urgence de la lutte contre la pandémie et ses différents effets sur les universités et collèges au pays, l’ACPPU ne doit pas se laisser distraire. Elle doit continuer d’exercer son rôle propre d’organisation apte à cerner et à protéger les intérêts collectifs de la communauté académique et sa grande mission sociale en tant qu’institution vouée à la défense et au développement désintéressés du savoir scientifique, interprétatif et créatif. Bien que cela puisse paraître idéaliste, seule une organisation nationale intégrée dans un réseau international peut fournir un portrait d’ensemble des enjeux que les luttes locales et les contingences historiques comme la crise de la COVID peuvent obscurcir.

Marc Schroeder

REPRESENTATIVE-AT-LARGE / General
REPRÉSENTANT ORDINAIRE / Général
MOUNT ROYAL/MRFA

Sur la scène provinciale partout au pays, nous assistons à des assauts de plus en plus soutenus contre l’éducation publique et le mouvement syndical — ce dernier étant le moyen grâce auquel, par l’action collective, nous pouvons défendre et faire progresser le plus fortement le premier. Alors que le travail des membres du personnel académique et de leurs associations se situe à la jonction des deux éléments de cette équation, les gouvernements néolibéraux cherchent à assujettir l’éducation postsecondaire à des objectifs instrumentalistes à court terme au service d'intérêts privés axés sur des perspectives d’emploi étroitement définies et la commercialisation de la recherche et assortis de politiques d’austérité et de financement lié au rendement pour en forcer la réalisation. Ces orientations favorisent la corporatisation des établissements et augmentent la précarité. Elles affaiblissent l’autonomie des établissements, la gouvernance partagée démocratique et la négociation collective, portant ainsi atteinte à la liberté académique : autant de conditions nécessaires à une éducation postsecondaire publique au service de l’intérêt commun dans son acception la plus large. Il faut absolument que les associations adoptent un modèle d’organisation qui leur permettra de se préparer pour une mobilisation contre ces assauts au moyen de l’action collective menée sur plusieurs fronts.

Robin Whitaker

REPRESENTATIVE-AT-LARGE / General
REPRÉSENTANTE ORDINAIRE / Général
MEMORIAL/MUNFA

Nous avons plus que jamais besoin d’une éducation postsecondaire publique solide pour surmonter une pandémie qui touche chaque aspect de nos vies; des problèmes pratiques liés à nos déplacements et à notre travail, aux défis sociaux et psychologiques en passant par les questions existentielles fondamentales. Tout comme les inégalités socioéconomiques qu’elle souligne à grands traits, la pandémie de COVID-19 révèle les vulnérabilités systémiques. Parmi celles-ci, on compte l’insécurité à laquelle sont exposés les collèges et universités en raison des coupes dans le financement public, la corporatisation et la commercialisation qui donnent lieu à une précarisation accrue du travail académique, à une dépendance excessive à l’égard des droits d’inscription et à une administration de plus en plus déconnectée de la réalité quotidienne du travail et des membres du personnel académique. Les associations de personnel académique, de concert avec l’ACPPU, sont essentielles pour assurer une transition équitable, juste et durable, tant pour leurs propres membres que pour l’ensemble de la société. Nous devons concerter nos efforts avec tous nos collègues du mouvement syndical et nos autres alliés des mouvements sociaux et environnemental et ce, dans le but de défendre l’intérêt commun.

Alison Hearn

CHAIR / Academic Freedom & Tenure
PRÉSIDENTE / Liberté académique et permanence de l’emploi
WESTERN/UWOFA

La protection et la promotion de la liberté académique revêtent une importance sans précédent dans le contexte créé par la pandémie de COVID-19. Les administrations universitaires partout au pays ont dû adopter des mesures d’urgence pour juguler la crise sanitaire ces derniers mois, mais ces actions ont porté un dur coup au milieu de travail académique avec le contournement systématique des structures de gouvernance collégiale, la transition rapide vers des plateformes numériques privées non assortie des protections appropriées de la propriété intellectuelle et de la vie privée et l’augmentation non reconnue de la charge de travail. Tous ces éléments minent nos droits liés à la liberté académique, à savoir la liberté d’expression extra-muros et intra-muros, la liberté d’effectuer des recherches et la liberté d’enseignement. Le Comité de la liberté académique et de la permanence de l’emploi de l’ACPPU surveille les effets néfastes des technologies éducatives sur la liberté académique depuis un certain temps déjà, mais l’utilisation croissante des plateformes numériques privées suscite de nouvelles préoccupations en ce qui a notamment trait aux risques accrus de surveillance à l’intérieur et à l’extérieur des classes, aux formes disciplinaires de gestion du rendement au moyen de la collecte de données et aux menaces et à l’autocensure potentielles qui accompagnent l’enregistrement et la diffusion de nos cours et de notre matériel didactique en ligne. Outre son travail constant de défense de la liberté académique de ses membres, le Comité est en train de mettre sur pied un atelier sur la liberté académique, tout en soutenant avec diligence l’équité dans sa conjonction avec la liberté académique.

Sarika Bose

CHAIR / Contract Academic Staff
PRÉSIDENTE / Personnel académique contractuel
BRITISH COLUMBIA/UBCFA

Au Canada, environ le tiers des membres du personnel académique sont embauchés à titre temporaire ou à temps partiel, ce qui compromet sérieusement les principes de l’enseignement supérieur. C’est pourquoi le Conseil de l’ACPPU a chargé le Comité du personnel académique contractuel de promouvoir les enjeux qui touchent le personnel académique contractuel partout au Canada. L’ACPPU reconnaît qu’une précarité croissante menace l’intégrité du travail académique, une situation qu’exacerbe la présente pandémie. L’insécurité d’emploi fait obstacle à l’exercice de la liberté académique, l’insécurité financière a des répercussions sur la santé physique et mentale et l’absence d’avancement professionnel affaiblit grandement le milieu académique et la société canadienne dans son ensemble. La situation freine également le développement du savoir, le personnel contractuel étant largement confiné à l’enseignement et ne disposant que de peu de ressources pour la recherche, ce qui entraîne la déstabilisation de secteurs économiques normalement stables. Par son travail consultatif sur les énoncés de principes et les campagnes de l’ACPPU, notre comité soutient les actions continues de l’ACPPU en vue de favoriser des pratiques d’emploi équitables pour tous les membres du personnel académique.

Kate Cushon

CHAIR / Librarians & Archivists
PRÉSIDENTE / Bibliothécaires et archivistes
REGINA/URFA

Le Comité des bibliothécaires et des archivistes entend axer ses efforts sur un éventail d’enjeux importants auxquels se heurte actuellement notre secteur. Il poursuivra notamment son travail central de défense des intérêts, y compris le suivi et l’information aux membres concernant la révision quinquennale de la Loi sur le droit d’auteur, les questions entourant Access Copyright et l’utilisation équitable, le soutien public à l’édition et aux ressources éducatives en libre accès, ainsi que d’autres enjeux émergents. Pendant la pandémie de COVID-19, les bibliothécaires et archivistes pourraient être confrontés à des calendriers de réouverture rapide des installations physiques, en l’absence d’uniformisation des capacités pour assurer la sécurité du personnel et des mesures jugées essentielles, comparativement à d’autres secteurs des établissements postsecondaires. Par ailleurs, les bibliothécaires et archivistes font face à des risques accrus de « dé-professionnalisation », leur travail étant menacé d’invisibilité par la prestation à distance de l’enseignement et des services. Tout en assurant le suivi de ces enjeux et en y répondant, notre comité continuera d’être à l’écoute des membres relativement aux enjeux qui émergent durant cette période sans précédent. 

Sue Blair

CHAIR / Collective Bargaining & Economic Benefits
PRÉSIDENTE / Négociation collective et avantages économiques
NEW BRUNSWICK/AUNBT

Tout au long de cette année où les défis se sont succédé, les associations de personnel académique partout au Canada ont été confrontées aux changements incessants apportés au travail de leurs membres et à des scénarios d’austérité attribués à la pandémie émanant tant des administrations que des gouvernements. Nous luttons pour qu’une distinction soit faite entre changements nécessaires et restructuration opportuniste au sein du milieu de travail académique et cette lutte mine notre capacité à élaborer des positions claires et à les communiquer à nos membres et au public. Ces enjeux ont des répercussions directes sur la négociation collective. Dans le contexte d’incertitude et de peur où s’inscrivent actuellement nos efforts de mobilisation des membres, nos meilleurs outils demeurent nos forces traditionnelles de recherche, d’analyse nuancée des données, de communication et d’engagement de nos membres. Au cours de la prochaine année, notre comité se consacrera à trouver des moyens d’aider les associations membres à relever ces défis, en réévaluant et recadrant ses outils de mobilisation dans le contexte de la pandémie et en développant une compréhension de l’éducation postsecondaire basée sur des données probantes et l’information.

Pat Armstrong

CO-CHAIR / Equity
COPRÉSIDENTE / Équité
YORK/YUFA

La situation actuelle offre des possibilités, qu’il nous faut saisir. À mon avis, le Comité de l’équité doit cette année centrer ses efforts sur deux éléments. D’une part, nous devons veiller à ce que les stratégies pour contrer la pandémie de COVID-19 n’exacerbent pas les inégalités existantes, en commençant par cerner les conséquences inéquitables et souvent invisibles de ces stratégies à l’intérieur tout comme à l’extérieur des établissements postsecondaires. D’autre part, nous devons profiter du fait que la COVID-19 a mis en lumière certaines inégalités et favorisé une prise de conscience de la discrimination systémique — ce que Paul Farmer appelle la violence structurelle — pour planifier la mise en place de politiques et de pratiques qui créent un vrai changement. Nous devons non seulement faire en sorte de partager expériences et ressources pour soutenir les associations de personnel académique dans leur travail de promotion de l’équité, mais aussi d’enrichir nos contenus et modes de diffusion tout en veillant à ce que l’équité soit au cœur de toutes les décisions prises dans le sillage de la pandémie.

Momin Rahman

CO-CHAIR / Equity
COPRÉSIDENT / Équité
TRENT/TUFA

Je suis très heureux de pouvoir poursuivre mon travail en tant que coprésident du Comité de l’équité de l’ACPPU. Durant mon premier mandat, j’ai dirigé l’élaboration d’une trousse didactique sur l’équité et notre comité contribue maintenant à la finalisation de cette ressource qui fournira aux membres des conseils pratiques et des plans d’action pour faire progresser l’équité au sein de nos établissements. Ces derniers mois, nous avons vu l’attention mondiale se tourner vers le racisme systémique, un enjeu criant dans le secteur postsecondaire au Canada. Je vais continuer de soutenir le travail qu’accomplissent le Comité de direction et le Comité de l’équité de l’ACPPU sur cet enjeu pour que nous puissions tous bâtir un environnement éducatif et de recherche qui reflète l’ensemble de la société canadienne. En outre, la pandémie mondiale a fait ressortir les nombreuses inégalités structurelles dans notre profession, liées au genre, au handicap et à la race, ainsi que la vulnérabilité du personnel académique contractuel. Cela démontre que l’équité est un enjeu qui s’inscrit au cœur de nos vies professionnelles et personnelles et des responsabilités de nos nombreux membres et que les administrations ne peuvent déloger cet enjeu des priorités ni l’enfouir sous prétexte de devoir adopter des mesures d’urgence pour contrer la pandémie.

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