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Guide de reconnaissance des Premières Nations et des territoires traditionnels

Infinity by Christi Belcourt
[Photo: Infinity par Christi Belcourt]

Le présent guide énonce la formule de reconnaissance du territoire recommandée par l’Association canadienne des professeures et professeurs d’université (ACPPU) pour chacun des établissements où travaillent ses membres, répartis par province. Nous avons également inclus les formules de reconnaissance propres à d’autres établissements postsecondaires qui nous en ont fait la demande.

Nous tenons à souligner que le présent document est conçu comme un guide, non comme un scénario à exécuter. Nous recommandons d’adopter dans la mesure du possible les formules de reconnaissance établies par les conseils ou groupes consultatifs autochtones propres à chaque établissements postsecondaires. Dans d’autres endroits, lorsqu’il existe de multiples formules de reconnaissance pour un territoire donné ou que ces formules sont contestées, nous exposons l’éventail des choix possibles. Ce guide de travail est un document en constante évolution.

Mode d’emploi du guide

Le présent guide vise à encourager les représentants et les membres de toutes les associations de personnel académique à reconnaître les Premières Nations sur les territoires traditionnels desquels nous vivons et travaillons. Le rituel de reconnaissance devrait s’accomplir au début des cours, réunions, conférences et présentations qui se déroulent dans l’établissement d’appartenance ou ailleurs.

La reconnaissance du territoire est en elle-même une marque d’hommage et de respect envers les peuples autochtones. Elle atteste de leur présence tant historique qu’actuelle. La reconnaissance et le respect sont indispensables à l’établissement de relations saines et réciproques et à la poursuite du processus de réconciliation envers lequel l’ACPPU est pleinement engagée.

La reconnaissance du territoire est certes fort souhaitable, mais elle n’est cependant que l’amorce de la démarche à mener pour cultiver de solides relations avec les Premières Nations du Canada. La reconnaissance du territoire et des Premières Nations s’inscrit dans le contexte global des efforts réels et continus déployés pour développer une véritable compréhension de l’enjeu et éradiquer les séquelles du colonialisme. La reconnaissance du territoire ne devrait pas être simplement une déclaration faite pour la forme avant que l’on passe aux « vraies affaires » de l’assemblée; elle doit être considérée comme une composante essentielle de l’assemblée[1].

Aussi l’ACPPU encourage-t-elle fortement les associations de personnel académique à tendre la main aux collectivités autochtones locales pour ouvrir de nouvelles voies de dialogue, en vue de discuter précisément du libellé des formules de reconnaissance, de s’assurer que celles-ci sont à la fois respectueuses et représentatives, puisque ces reconnaissances peuvent changer ou que certaines collectivités bénéficient d’une importance plus grande selon le contexte ou l’assistance présente. De même, étant donné qu’il n’existe pas de norme orthographique unique qui s’applique aux noms autochtones traditionnels, ce peut être l’occasion d’assurer la bonne prononciation des noms des collectivités ou des nations autochtones.

Il est par ailleurs essentiel de reconnaître la présence et la nation métisses. Bien que les Métis soient visés dans certaines des formules de reconnaissance traditionnelle énumérées ci-après, c’est un aspect du guide qui devrait être développé et renforcé. Nous vous demandons donc, après consultation des associations métisses locales, de faire mention du peuple métis dans les formules de reconnaissance, le cas échéant.

Notre façon de procéder

Cette publication a été revue par le Groupe de travail de l’ACPPU sur l’éducation postsecondaire des Autochtones. Tout a été mis en œuvre pour garantir l’exactitude de l’information qui y est contenue. Nous tenons également à remercier les nombreux membres de la liste de diffusion de l’ACPPU consacrée au personnel académique autochtone, qui ont contribué grandement, par leurs commentaires généreux et constructifs, à l’élaboration du présent guide.

Il y a toutefois lieu de préciser que bon nombre de ces formules de reconnaissance ont été établies uniquement à partir des documents consultés, tels les cartes et les textes des traités. La consultation des collectivités demeure néanmoins primordiale. N’hésitez pas à faire part de vos remarques, suggestions et corrections à acppu@caut.ca.

1.  Pour en savoir davantage sur ce qu’implique de reconnaître de manière significative les Premières Nations, veuillez lire l’article suivant : FNHA-Territory-Acknowledgements-Information-Booklet.pdf.

Déclarations de reconnaissance

Terre-Neuve-et-Labrador

Memorial University (St. John's)

1/ Nous aimerions [J’aimerais] reconnaître respectueusement que le territoire sur lequel nous sommes rassemblés fait partie des terres ancestrales non cédées des Béothuks, et que l’île de Terre-Neuve fait partie des terres ancestrales non cédées des Micmacs et des Béothuks.

2/ J’aimerais [Nous aimerions] reconnaître respectueusement que le territoire sur lequel nous sommes rassemblés fait partie des terres ancestrales non cédées des Béothuks, et que l’île de Terre-Neuve fait partie des terres ancestrales non cédées des Micmacs et des Béothuks. J’aimerais [Nous aimerions] également reconnaître que les Inuits de Nunatsiavut et NunatuKavut et les Innus de Nitassinan, ainsi que leurs ancêtres, sont les premiers peuples du Labrador. Nous déployons tous nos efforts pour établir des partenariats respectueux avec tous les peuples de la province tout en nous engageant dans la voie d’une guérison collective et d’une véritable réconciliation et en honorant ensemble ces magnifiques terres.

— Formule de reconnaissance communiquée par le Bureau des affaires autochtones de l’Université Memorial

Memorial University of Newfoundland Grenfell Campus (Corner Brook)

1/ J’aimerais [Nous aimerions] reconnaître respectueusement que le territoire sur lequel nous sommes rassemblés fait partie du territoire traditionnel non cédé des Micmacs.

2/ J’aimerais [Nous aimerions] reconnaître respectueusement que le territoire sur lequel nous sommes rassemblés fait partie du territoire traditionnel des Micmacs, et nous reconnaissons avec respect les diverses cultures et histoires de tous les peuples micmac, innu et inuit de la province.

— Formule de reconnaissance communiquée par le Bureau des affaires autochtones de l’Université Memorial

Île-du-Prince-Édouard

University of Prince Edward Island (Charlottetown) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel non cédé de la Première Nation Abegweit Micmac.

Nouvelle-Écosse

Acadia University (Wolfville) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons en Mi’kma’ki, le territoire ancestral non cédé du peuple micmac.

Ce territoire est visé par les « traités de paix et d’amitié » que les Micmacs, les Wolastoqiyik (Malécites) et les Passamaquoddys ont d’abord conclus avec la Couronne britannique en 1726. Les traités en question ne comportaient pas de clause relative à la cession des terres et des ressources, mais reconnaissaient de fait le titre des Micmacs et des Wolastoqiyik (Malécites) et définissaient les règles quant à ce qui devait être des relations durables entre les nations.

Atlantic School of Theology (Halifax) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons en Mi’kma’ki, le territoire ancestral non cédé du peuple micmac.

Ce territoire est visé par les « traités de paix et d’amitié » que les Micmacs, les Wolastoqiyik (Malécites) et les Passamaquoddys ont d’abord conclus avec la Couronne britannique en 1726. Les traités en question ne comportaient pas de clause relative à la cession des terres et des ressources, mais reconnaissaient de fait le titre des Micmacs et des Wolastoqiyik (Malécites) et définissaient les règles quant à ce qui devait être des relations durables entre les nations.

Cape Breton University (Sydney) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons en Mi’kma’ki, le territoire ancestral non cédé du peuple micmac.

Ce territoire est visé par les « traités de paix et d’amitié » que les Micmacs, les Wolastoqiyik (Malécites) et les Passamaquoddys ont d’abord conclus avec la Couronne britannique en 1726. Les traités en question ne comportaient pas de clause relative à la cession des terres et des ressources, mais reconnaissaient de fait le titre des Micmacs et des Wolastoqiyik (Malécites) et définissaient les règles quant à ce qui devait être des relations durables entre les nations.

Dalhousie University (Halifax)

1/ Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons en Mi’kma’ki, le territoire ancestral non cédé du peuple micmac.

Ce territoire est visé par les « traités de paix et d’amitié » que les Micmacs, les Wolastoqiyik (Malécites) et les Passamaquoddys ont d’abord conclus avec la Couronne britannique en 1726. Les traités en question ne comportaient pas de clause relative à la cession des terres et des ressources, mais reconnaissaient de fait le titre des Micmacs et des Wolastoqiyiks (Malécites) et définissaient les règles quant à ce qui devait être des relations durables entre les nations.

2/ Cet établissement est érigé sur le territoire traditionnel des Micmacs. Nous sommes tous visés par les traités.

— Formule de reconnaissance officielle de l’université communiquée par le directeur général, diversité et inclusion, Université Dalhousie

Mount Saint Vincent University (Halifax) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons en Mi’kma’ki, le territoire ancestral non cédé du peuple micmac.

Ce territoire est visé par les « traités de paix et d’amitié » que les Micmacs, les Wolastoqiyik (Malécites) et les Passamaquoddys ont d’abord conclus avec la Couronne britannique en 1726. Les traités en question ne comportaient pas de clause relative à la cession des terres et des ressources, mais reconnaissaient de fait le titre des Micmacs et des Wolastoqiyik (Malécites) et définissaient les règles quant à ce qui devait être des relations durables entre les nations.

Nova Scotia College of Art and Design (Halifax) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons en Mi’kma’ki, le territoire ancestral non cédé du peuple micmac.

Ce territoire est visé par les « traités de paix et d’amitié » que les Micmacs, les Wolastoqiyik (Malécites) et les Passamaquoddys ont d’abord conclus avec la Couronne britannique en 1726. Les traités en question ne comportaient pas de clause relative à la cession des terres et des ressources, mais reconnaissaient de fait le titre des Micmacs et des Wolastoqiyik (Malécites) et définissaient les règles quant à ce qui devait être des relations durables entre les nations.

Saint Mary’s University (Halifax) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons en Mi’kma’ki, le territoire ancestral non cédé du peuple micmac.

Ce territoire est visé par les « traités de paix et d’amitié » que les Micmacs, les Wolastoqiyik (Malécites) et les Passamaquoddys ont d’abord conclus avec la Couronne britannique en 1726. Les traités en question ne comportaient pas de clause relative à la cession des terres et des ressources, mais reconnaissaient de fait le titre des Micmacs et des Wolastoqiyik (Malécites) et définissaient les règles quant à ce qui devait être des relations durables entre les nations.

St. Francis Xavier University (Antigonish) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons en Mi’kma’ki, le territoire ancestral non cédé du peuple micmac.

Ce territoire est visé par les « traités de paix et d’amitié » que les Micmacs et les Wolastoqiyik/Wəlastəkwiyik (Malécites) ont d’abord conclus avec la Couronne britannique en 1726. Les traités en question ne comportaient pas de clause relative à la cession des terres et des ressources, mais reconnaissaient de fait le titre des Micmacs et des Wolastoqiyik/Wəlastəkwiyik (Malécites) et définissaient les règles quant à ce qui devait être des relations durables entre les nations.

Université Sainte-Anne (Halifax) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons en Mi’kma’ki, le territoire ancestral non cédé du peuple micmac.

Ce territoire est visé par les « traités de paix et d’amitié » que les Micmacs, les Wolastoqiyik (Malécites) et les Passamaquoddys ont d’abord conclus avec la Couronne britannique en 1726. Les traités en question ne comportaient pas de clause relative à la cession des terres et des ressources, mais reconnaissaient de fait le titre des Micmacs et des Wolastoqiyik/Wəlastəkwiyik (Malécites) et définissaient les règles quant à ce qui devait être des relations durables entre les nations.

Université Sainte-Anne (Petit-de-Grat) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons en Mi’kma’ki, le territoire ancestral non cédé du peuple micmac.

Ce territoire est visé par les « traités de paix et d’amitié » que les Micmacs, les Wolastoqiyik (Malécites) et les Passamaquoddys ont d’abord conclus avec la Couronne britannique en 1726. Les traités en question ne comportaient pas de clause relative à la cession des terres et des ressources, mais reconnaissaient de fait le titre des Micmacs et des Wolastoqiyik (Malécites) et définissaient les règles quant à ce qui devait être des relations durables entre les nations.

Université Sainte-Anne (Pointe-de-l’Église) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons en Mi’kma’ki, le territoire ancestral non cédé du peuple micmac.

Ce territoire est visé par les « traités de paix et d’amitié » que les Micmacs, les Wolastoqiyik (Malécites) et les Passamaquoddys ont d’abord conclus avec la Couronne britannique en 1726. Les traités en question ne comportaient pas de clause relative à la cession des terres et des ressources, mais reconnaissaient de fait le titre des Micmacs et des Wolastoqiyik (Malécites) et définissaient les règles quant à ce qui devait être des relations durables entre les nations.

Université Sainte-Anne (Saint-Joseph-du-Moine) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons en Mi’kma’ki, le territoire ancestral non cédé du peuple micmac.

Ce territoire est visé par les « traités de paix et d’amitié » que les Micmacs, les Wolastoqiyik (Malécites) et les Passamaquoddys ont d’abord conclus avec la Couronne britannique en 1726. Les traités en question ne comportaient pas de clause relative à la cession des terres et des ressources, mais reconnaissaient de fait le titre des Micmacs et des Wolastoqiyik (Malécites) et définissaient les règles quant à ce qui devait être des relations durables entre les nations.

Université Sainte-Anne (Tusket) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons en Mi’kma’ki, le territoire ancestral non cédé du peuple micmac.

Ce territoire est visé par les « traités de paix et d’amitié » que les Micmacs, les Wolastoqiyik (Malécites) et les Passamaquoddys ont d’abord conclus avec la Couronne britannique en 1726. Les traités en question ne comportaient pas de clause relative à la cession des terres et des ressources, mais reconnaissaient de fait le titre des Micmacs et des Wolastoqiyik (Malécites) et définissaient les règles quant à ce qui devait être des relations durables entre les nations.

University of King’s College (Halifax) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons en Mi’kma’ki, le territoire ancestral non cédé du peuple micmac.

Ce territoire est visé par les « traités de paix et d’amitié » que les Micmacs, les Wolastoqiyik (Malécites) et les Passamaquoddys ont d’abord conclus avec la Couronne britannique en 1726. Les traités en question ne comportaient pas de clause relative à la cession des terres et des ressources, mais reconnaissaient de fait le titre des Micmacs et des Wolastoqiyik (Malécites) et définissaient les règles quant à ce qui devait être des relations durables entre les nations.

Nouveau-Brunswick

Mount Allison University (Sackville) – Nous aimerions [J’aimerais] reconnaître les propriétaires et gardiens traditionnels (dans les quatre directions) du territoire sur lequel nous sommes rassemblés, ainsi que leur rendre hommage et leur témoigner notre respect. L’Université Mount Allison est sise sur les terres ancestrales non cédées des Micmacs. Bien que cet endroit soit désigné sous le nom de Sackville (Nouveau-Brunswick), le territoire fait partie du vaste territoire de Mi’kma’ki.

St. Thomas University (Fredericton) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel non cédé des Wolastoqiyiks/ Wəlastəkwiyik (Malécites) dont les ancêtres avec les tribus/nations des Micmacs et des Passamaquoddy / Peskotomuhkati ont conclu des traités de paix et d’amitié avec la Couronne britannique dans les années 1700.

Université de Moncton (Moncton) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel non cédé des Micmacs. Ce territoire est visé par les « traités de paix et d’amitié » que les Wəlastəkwiyik (Malécites) et les Micmacs ont d’abord conclus avec la Couronne britannique en 1726. Les traités en question ne comportaient pas de clause relative à la cession des terres et des ressources, mais reconnaissaient de fait le titre des Micmacs et des Wəlastəkwiyik (Malécites) et définissaient les règles quant à ce qui devait être des relations durables entre les nations.

Université de Moncton (Edmundston) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel non cédé des Micmacs. Ce territoire est visé par les « traités de paix et d’amitié » que les Wəlastəkwiyik (Malécites) et les Micmacs ont d’abord conclus avec la Couronne britannique en 1726. Les traités en question ne comportaient pas de clause relative à la cession des terres et des ressources, mais reconnaissaient de fait le titre des Micmacs et des /Wəlastəkwiyik (Malécites) et définissaient les règles quant à ce qui devait être des relations durables entre les nations.

Université de Moncton (Shippagan) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel non cédé des Micmacs. Ce territoire est visé par les « traités de paix et d’amitié » que les Wəlastəkwiyik (Malécites) et les Micmacs ont d’abord conclus avec la Couronne britannique en 1726. Les traités en question ne comportaient pas de clause relative à la cession des terres et des ressources, mais reconnaissaient de fait le titre des Micmacs et des Wəlastəkwiyik (Malécites) et définissaient les règles quant à ce qui devait être des relations durables entre les nations.

University of New Brunswick (Fredericton) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel non cédé des Wolastoqiyik/Wəlastəkwiyik (Malécites).  Ce territoire est visé par les « traités de paix et d’amitié » que les Wəlastəkwiyik (Malécites) et les Micmacs ont d’abord conclus avec la Couronne britannique en 1726. Les traités en question ne comportaient pas de clause relative à la cession des terres et des ressources, mais reconnaissaient de fait le titre des Micmacs et des Wolastoqiyik/Wəlastəkwiyik (Malécites) et définissaient les règles quant à ce qui devait être des relations durables entre les nations.

University of New Brunswick (St. John’s) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel non cédé des Wolastoqiyik/Wəlastəkwiyik (Malécites) et des Micmacs. Ce territoire est visé par les « traités de paix et d’amitié » que les Wolastoqiyik/Wəlastəkwiyik (Malécites) et les Micmacs ont d’abord conclus avec la Couronne britannique en 1726. Les traités en question ne comportaient pas de clause relative à la cession des terres et des ressources, mais reconnaissaient de fait le titre des Micmacs et Wolastoqiyik/Wəlastəkwiyik (Malécites) et définissaient les règles quant à ce qui devait être des relations durables entre les nations.

Québec

Université Bishop’s (Sherbrooke) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel non cédé de la Confédération des Abénakis et des Wabanakis.

Université Concordia (Montréal) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel non cédé des Kanien’keha:ka (Mohawks), qui a longtemps servi de lieu de rassemblement et d’échange entre les nations.

Université Concordia, reconnaissance territoriale

Université McGill (Montréal) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel non cédé des Kanien’keha:ka (Mohawks), qui a longtemps servi de lieu de rassemblement et d’échange entre les nations.

Université Laval (Québec) – Dans un esprit d’amitié et de solidarité, l’Université Laval rend hommage aux Premiers Peuples de ces lieux. Étant à la croisée du Nionwentsïo du peuple Huron-Wendat, du Ndakina du peuple Wabanaki, du Nitassinan du peuple Innu, du Nitaskinan du peuple Atikamekw et du Wolastokuk du peuple Wolastoqey, nous honorons nos relations les uns avec les autres.

— Université Laval, décembre 2021

Université de Montréal (Montréal) – L’Université de Montréal rend hommage aux peuples autochtones qui, bien avant l’établissement des Français, ont interagi les uns avec les autres sur le territoire montréalais et elle célèbre le souvenir des signataires de la Grande Paix de 1701. Ce traité, signé à Montréal, a établi une paix durable entre la France, ses alliés autochtones et la Confédération haudenosauni. L’esprit de fraternité à l’origine de ce traité est un modèle pour notre communauté universitaire.

— Formules de reconnaissance communiquée par le conseiller principal aux affaires étudiantes et à la réussite Vice-rectorat aux affaires étudiantes et aux études

Ontario

Algoma University (Sault Ste. Marie)Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire désigné dans le traité Robinson-Huron et que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Anishinabés, particulièrement les Premières Nations de Garden River et de Batchewana, ainsi que des Métis.

Algonquin College (Ottawa) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel non cédé du peuple anishinabé algonquin.

Brescia University College (London) – Nous tenons [Je tiens] à reconnaître l’histoire du territoire traditionnel sur lequel cette université est érigée. Nous tenons [Je tiens] également à respecter les relations de longue date des trois groupes locaux de Premières nations présents sur ces terres et emplacement dans le Sud-Ouest de l’Ontario.

Les Attawandarons (Neutres) se sont autrefois installés dans cette région au côté des peuples algonquin et haudenosaunee, et ces terres faisaient partie de leurs territoires traditionnels de chasse aux castors.

Trois autres groupes autochtones sont établis depuis longtemps dans cette région géographique : les Anishinabés (également connus sous le nom de la Confédération des Trois Feux, formée des nations ojibwé, odawa et pottawatomi); les Haudenosaunees (communément appelés « Iroquois » ou « Six Nations », c’est-à-dire les Mohawks, les Onneiouts, les Cayougas, les Onontagués, les Sénécas et les Tuscaroras); les Lennis-Lenapes (également connus sous le nom de Delawares et/ou Munsees).

Les trois collectivités des Premières Nations vivant le plus près de cette université sont : la Première Nation des Chippewas de la Thames (fait partie des Anishinabés); la Nation Oneida de la Thames (fait partie des Haudenosaunees); la Nation Munsee-Delaware (fait partie des Lennis-Lenapes).

Services authochtones, University of Western Ontario

Brock University (St. Catharines) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des peuples anishinabé et haudenosaunee.

Cambrian College (Sudbury) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire désigné dans le traité et que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel de la nation Atikameksheng Anishnawbek.

Canadore College (North Bay) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire désigné dans le traité Robinson-Huron et que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel du peuple anishinabé et, particulièrement, de la Première Nation Nipissing.

Carleton University (Ottawa) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel non cédé du peuple anishinabé algonquin.

Centennial College (Scarborough)[On appelle communément les traités signés relativement à cette parcelle de terrain précise les traités Williams de 1923; ces traités s'appliquent aux terres à l’est de l'avenue Woodbine.]

Toronto District School Board, Centre d'éducation autochtone

Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Wendats, des Anishinabés, des Haudenosaunees, des Métis et des Mississaugas des Premières Nations de Scugog, de Hiawatha et d’Alderville.

Centennial College (Toronto) – Nous reconnaissons que nous nous trouvons sur les terres visées par le traité et le territoire de de la Première Nation des Mississaugas de la rivière Credit et nous rendons hommage à leur héritage et à l’héritage de toutes les Premières Nations du Canada, tout comme nous resserrons nos liens avec les communautés que nous desservons et nous bâtissons l’avenir par l’entremise de l’apprentissage et de nos diplômés. Aujourd’hui, le lieu de rassemblement traditionnel de Toronto est encore le foyer de nombreux Autochtones de l’Île aux tortues, et nous sommes reconnaissants de pouvoir travailler dans les collectivités qui ont prospéré sur les terres visées par le traité des Mississaugas. Nous reconnaissons que nous sommes tous visés par les traités et nous acceptons d’assumer notre responsabilité d’honorer toutes nos relations.

— Formule de reconnaissance communiquée par le Centennial College

Collège Boréal (Hearst) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire visé par le traité no 9 et que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des peuples ojibwé/chippewa, oji cri, mushkegowuk (cri), algonquin et métis.

Collège Boréal (Kapuskasing) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire visé par le traité no 9 et que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des peuples ojibwé/chippewa, oji cri, mushkegowuk (cri), algonquin et métis.

Collège Boréal (Nippissing) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire désigné dans le traité Robinson-Huron et que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel du peuple anishinabé et, particulièrement, de la Première Nation Nipissing.

Collège Boréal (Sudbury) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire désigné dans le traité Robinson-Huron et que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel de la nation Atikameksheng Anishnawbek.

Collège Boréal (Témiskaming) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire désigné dans le traité Robinson-Huron et que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des peuples cri, ojibwé et algonquin.

Collège Boréal (Timmins) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire visé par le traité no 9 et que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des peuples ojibwé/chippewa, mushkegowuk (cri), algonquin et métis.

Collège Boréal (Toronto)[On appelle communément le traité signé relativement à cette parcelle de terrain précise le traité Achat de Toronto. Il s’applique aux terres allant de l’est de Brown’s Line jusqu’à l’avenue Woodbine, et du nord vers Newmarket.]​

Toronto District School Board, Centre d'éducation autochtone

Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Wendats, des Anishinabés, des Haudenosaunees, des Métis et des Mississaugas de la Première Nation Credit.

Conestoga College (Kitchener) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur la concession de Haldimand, parcelle de terrain promise au peuple haudenosaunee des Six Nations, d’une largeur de six milles sur chaque rive de la rivière Grand. Cette concession fait partie du territoire traditionnel des Neutres, des Anishinabés et des Haudenosaunees.

Confederation College (Thunder Bay) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire désigné dans le traité Robinson-Supérieur et que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Anishinabés et des Métis.

Collège militaire royal du Canada (Kingston) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des peuples anishinabé et haudenosaunee.

Durham College (Oshawa) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel de la Première Nation des Mississaugas de Scugog Island.

École de médecine du Nord de l’Ontario (Thunder Bay) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire désigné dans le traité Robinson-Supérieur et que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Anishinabés et des Métis.

École de médecine du Nord de l’Ontario (Sudbury) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire désigné dans le traité Robinson-Huron et que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel de la nation Atikameksheng Anishnawbek.

Fanshawe College (London) – Nous tenons [Je tiens] à reconnaître l’histoire du territoire traditionnel sur lequel cette université est érigée. Nous tenons [Je tiens] également à respecter les relations de longue date des trois groupes locaux de Premières Nations présents sur ces terres et emplacement dans le Sud-Ouest de l’Ontario.

Les Attawandarons (Neutres) se sont autrefois installés dans cette région au côté des peuples algonquin et haudenosaunee, et ces terres faisaient partie de leurs territoires traditionnels de chasse aux castors.

Les trois autres groupes autochtones établis depuis longtemps dans cette région géographique sont : les Anishinabés (également connus sous le nom de la Confédération des Trois Feux, formée des nations ojibwé, odawa et pottawatomi); les Haudenosaunees (communément appelés « Iroquois » ou « Six Nations », c’est-à-dire les Mohawks, les Onneiouts, les Cayougas, les Onontagués, les Sénécas et les Tuscaroras); les Lennis-Lenapes (également connus sous le nom de Delawares et/ou Munsees).

Les trois collectivités des Premières Nations vivant le plus près de cette université sont : la Première Nation des Chippewas de la Thames (fait partie des Anishinabés); la nation Oneida de la Thames (fait partie des Haudenosaunees); la nation Munsee-Delaware (fait partie des Lennis-Lenapes).

Services authochtones, University of Western Ontario

Flemming College (Peterborough) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Anishinabés/Mississaugas, adjacent au territoire des Haudenosaunees et compris dans le territoire visé par les traités Williams. Tous les jours nous rendons hommage aux premiers occupants du territoire.

Georgian College (Barrie) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Haudenosaunees et des Anishinabés. Ce territoire est visé par les traités du Haut-Canada.

George Brown College (Toronto)[On appelle communément le traité signé relativement à cette parcelle de terrain précise le traité Achat de Toronto. Il s’applique aux terres allant de l’est de Brown’s Line jusqu’à l’avenue Woodbine, et du nord vers Newmarket.]​

Toronto District School Board, Centre d'éducation autochtone

Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Wendats, des Anishinabés, des Haudenosaunees, des Métis et des Mississaugas de la Première Nation Credit.

Humber College (Toronto) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie d’Adobigok (qui signifie Place des aulnes en langue ojibwé). Situé dans un endroit unique le long du bassin versant de la rivière Hamber, Adobigok a traditionnellement assuré aux peuples autochtones une liaison intégrée entre la rive du lac Ontario et la région du lac Simcoe et de la baie Georgienne. Cette région fait partie du territoire traditionnel des Wendats, des Anishinabés et des Haudenosaunees.

— Shelley Charles, aîné, conseiller aux relations autochtones, Humber College

Huntington University (Sudbury) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire désigné dans le traité Robinson-Huron et que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel de la nation Atikameksheng Anishnawbek.

Huron University College (London) – Nous tenons [Je tiens] à reconnaître l’histoire du territoire traditionnel sur lequel cette université est érigée. Nous tenons [Je tiens] également à respecter les relations de longue date des trois groupes locaux de Premières nations présents sur ces terres et emplacement dans le Sud-Ouest de l’Ontario.

Les Attawandarons (Neutres) se sont autrefois installés dans cette région au côté des peuples algonquin et haudenosaunee, et ces terres faisaient partie de leurs territoires traditionnels de chasse aux castors.

Trois autres groupes autochtones sont établis depuis longtemps dans cette région géographique :

  • les Anishinabés (également connus sous le nom de la Confédération des Trois Feux, formée des nations ojibwé, odawa et pottawatomi);
  • les Haudenosaunees (communément appelés « Iroquois » ou « Six Nations », c’est-à-dire les Mohawks, les Onneiouts, les Cayougas, les Onontagués, les Sénécas et les Tuscaroras);
  • les Lennis-Lenapes (également connus sous le nom de Delawares et/ou Munsees).

Les trois collectivités des Premières Nations vivant le plus près de cette université sont :

  • la Première Nation des Chippewas de la Thames (fait partie des Anishinabés);
  • la Nation Oneida de la Thames (fait partie des Haudenosaunees);
  • la Nation Munsee-Delaware (fait partie des Lennis-Lenapes).
Services authochtones, University of Western Ontario

King’s University College (London) – Nous tenons [Je tiens] à reconnaître l’histoire du territoire traditionnel sur lequel cette université est érigée. Nous tenons [Je tiens] également à respecter les relations de longue date des trois groupes locaux de Premières nations présents sur ces terres et emplacement dans le Sud-Ouest de l’Ontario.

Les Attawandarons (Neutres) se sont autrefois installés dans cette région au côté des peuples algonquin et haudenosaunee, et ces terres faisaient partie de leurs territoires traditionnels de chasse aux castors.

Trois autres groupes autochtones sont établis depuis longtemps dans cette région géographique :

  • les Anishinabés (également connus sous le nom de la Confédération des Trois Feux, formée des nations ojibwé, odawa et pottawatomi);
  • les Haudenosaunees (communément appelés « Iroquois » ou « Six Nations », c’est-à-dire les Mohawks, les Onneiouts, les Cayougas, les Onontagués, les Sénécas et les Tuscaroras);
  • les Lennis-Lenapes (également connus sous le nom de Delawares et/ou Munsees).

Les trois collectivités des Premières Nations vivant le plus près de cette université sont :

  • la Première Nation des Chippewas de la Thames (fait partie des Anishinabés);
  • la Nation Oneida de la Thames (fait partie des Haudenosaunees);
  • la Nation Munsee-Delaware (fait partie des Lennis-Lenapes).
Services authochtones, University of Western Ontario

La Cité Collégiale (Ottawa) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel non cédé du peuple anishinabé algonquin.

Lakehead University (Thunder Bay) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire désigné dans le traité Robinson-Supérieur et que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Anishinabés et des Métis.

Lakehead University (Orillia) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Anishinabés, particulièrement les peuples ojibwé/chippewa. Ce territoire est visé par les traités Williams.

Lambton College (Sarnia) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Anishinabés et plus particulièrement de la Première Nation Aamjiwnaang.

Lambton College (Toronto)[On appelle communément les traités signés relativement à cette parcelle de terrain précise les traités Williams de 1923; ces traités s'appliquent aux terres à l’est de l'avenue Woodbine.]

Toronto District School Board, Centre d'éducation autochtone

Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Wendats, des Anishinabés, des Haudenosaunees, des Métis et des Mississaugas des Premières Nations de Scugog, de Hiawatha et d’Alderville.

Loyalist College (Belleville) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Wendats, des Anishinabés et des Haudenosaunees, et directement adjacent à la collectivité Kanien’keha:ka (Mohawk) de Tyendinaga.

Loyalist College (Bancroft) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Anishinabés.

McMaster (Hamilton) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Haudenosaunees et des Anishinabés. Ce territoire est visé par les traités du Haut-Canada, il fait partie des terres protégées par l’accord de la ceinture de wampum dit du « bol à une seule cuillère », et il est directement adjacent au territoire visé par le traité de Haldimand.

Mohawk College (Hamilton) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Haudenosaunees et des Anishinabés. Ce territoire est visé par les traités du Haut-Canada, il fait partie des terres protégées par l’accord de la ceinture de wampum dit du « bol à une seule cuillère », et il est directement adjacent au territoire visé par le traité de Haldimand.

Niagara College (Welland) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Haudenosaunees et des Anishinabés. Ce territoire est visé par les traités du Haut-Canada, il fait partie des terres protégées par l’accord de la ceinture de wampum dit du « bol à une seule cuillère », et il est directement adjacent au territoire visé par le traité de Haldimand.

Nipissing (North Bay) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire désigné dans le traité Robinson-Huron et que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel du peuple anishinabé et, particulièrement, de la Première Nation Nipissing.

Nipissing (Brantford) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire traditionnel des Neutres, des Anishinabés et des Haudenosaunees. Brantford se trouve sur la concession de Haldimand, terre promise aux Six Nations, d’une largeur de six milles sur chaque rive de la rivière Grand.

Northern College (Haileybury) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire désigné dans le traité Robinson-Huron et que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des peuples cri, ojibwé et algonquin.

Northern College (Kirkland Lake) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire désigné dans le traité Robinson-Huron et que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des peuples cri, ojibwé et algonquin.

Northern College (Moosonee) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire visé par le traité no 9 et que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des peuples mushkegowuk (cri), ojibwé/chippewa, oji cri, algonquin et métis.

Northern College (Timmins) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire visé par le traité no 9 et que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des peuples ojibwé/chippewa, mushkegowuk (cri), algonquin et métis.

Ontario College of Art and Design (Toronto) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Wendats, des Anishinabés, des Haudenosaunees, des Métis et des Mississaugas de la Première Nation Credit.

On appelle communément le traité signé relativement à cette parcelle de terrain précise le traité Achat de Toronto. Il s’applique aux terres allant de l’est de Brown’s Line jusqu'à l’avenue Woodbine, et du nord vers Newmarket.

Osgoode Hall Law School (Toronto) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Wendats, des Anishinabés, des Haudenosaunees, des Métis et des Mississaugas de la Première Nation Credit.

On appelle communément le traité signé relativement à cette parcelle de terrain précise le traité Achat de Toronto. Il s’applique aux terres allant de l’est de Brown’s Line jusqu’à l’avenue Woodbine, et du nord vers Newmarket.

Queen’s University (Kingston) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des peuples anishinabé et haudenosaunee.

Queen's University

Sault College (Sault Ste. Marie) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire désigné dans le traité Robinson-Huron et que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Anishinabés, particulièrement les Premières Nations de Garden River et de Batchewana, ainsi que des Métis.

Seneca College (Toronto)[On appelle communément le traité signé relativement à cette parcelle de terrain précise le traité Achat de Toronto. Il s’applique aux terres allant de l’est de Brown’s Line jusqu’à l’avenue Woodbine, et du nord vers Newmarket.]​

Toronto District School Board, Centre d'éducation autochtone

Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Wendats, des Anishinabés, des Haudenosaunees, des Métis et des Mississaugas de la Première Nation Credit.

Sheridan College (Brampton) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Haudenosaunees et des Anishinabés. Ce territoire est visé par les traités du Haut-Canada et fait partie des terres protégées par l’accord de la ceinture de wampum dit du « bol à une seule cuillère ».

Sheridan College (Mississauga) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Haudenosaunees et des Anishinabés. Ce territoire est visé par les traités du Haut-Canada et fait partie des terres protégées par l’accord de la ceinture de wampum dit du « bol à une seule cuillère ».

Sheridan College (Oakville) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Haudenosaunees et des Anishinabés. Ce territoire est visé par les traités du Haut-Canada et fait partie des terres protégées par l’accord de la ceinture de wampum dit du « bol à une seule cuillère ».

St. Clair College (Windsor) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Attawandarons (Neutres), des Anishinabés et des Haudenosaunees.

St. Jerome’s University (Waterloo) – Nous tenons [Je tiens] à souligner que nous nous trouvons dans la concession de Haldimand, le territoire traditionnel des Huron-Wendat.

Toronto District School Board, Centre d'éducation autochtone

St. Lawrence College (Brockville) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Wendats, des Anishinabés et des Haudenosaunees.

St. Lawrence College (Cornwall) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Anishinabés et des Haudenosaunees, particulièrement des Kanien’keha:ka (Mohawk).

St. Lawrence College (Kingston) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Anishinabés et des Haudenosaunees.

Thorneloe University (Sudbury) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire désigné dans le traité Robinson-Huron et que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel de la nation Atikameksheng Anishnawbek.

Toronto Metropolitan University

1/ La ville de Toronto et Toronto Metropolitan University font partie du territoire visé par l’accord dit du « bol à une seule cuillère », traité en vertu duquel les Anishinabés, les Mississaugas et les Haudenosaunees se sont engagés à partager le territoire et à protéger les terres. D’autres nations et peuples autochtones, les Européens et tous les nouveaux arrivants ont été invités par la suite à adhérer à ce traité dans un esprit de paix, d’amitié et de respect.

— Formule de reconnaissance communiquée par le Conseil autochtone de l’enseignement de Toronto Metropolitan University

2/ Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Wendats, des Anishinabés, des Haudenosaunees, des Métis et des Mississaugas de la Première Nation Credit.

On appelle communément le traité signé relativement à cette parcelle de terrain précise le traité Achat de Toronto. Il s’applique aux terres allant de l’est de Brown’s Line jusqu’à l’avenue Woodbine, et du nord vers Newmarket.

Toronto District School Board, Centre d'éducation autochtone

Trent University (Oshawa) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel de la Première Nation des Mississaugas de Scugog Island.

Trent University (Peterborough) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Anishinabés/Mississaugas, adjacent au territoire des Haudenosaunees et compris dans le territoire visé par les traités Williams. Tous les jours nous rendons hommage aux premiers occupants du territoire.

Université de Hearst – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire visé par le traité no 9 et que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des peuples ojibwé/chippewa, oji‑cri, mushkegowuk (cri), algonquin et métis.

Université Laurentienne (Sudbury) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire désigné dans le traité Robinson-Supérieur et que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel de la nation Atikameksheng Anishnawbek.

Université d’Ottawa – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel non cédé du peuple anishinabé algonquin.

Université Saint-Paul (Ottawa) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel non cédé du peuple anishinabé algonquin.

Université de Sudbury – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire désigné dans le traité Robinson-Huron et que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel de la nation Atikameksheng Anishnawbek.

University of Guelph

1/ Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des peuples attawandaron, anishinabé, haudenosaunee et des Métis.

2/ Nous tenons à saluer le peuple attawandaron du territoire traditionnel sur lequel l’Université de Guelph est érigée, et nous faisons part de notre respect à nos voisins anishinabés, haudenosaunees et Métis en nous efforçant de consolider nos liens avec eux.

Nous reconnaissons l’importance du traité dit du « bol à une seule cuillère » pour ce territoire. Ce traité de paix a été conclu entre les nations autochtones avant l’arrivée des Européens. Il incarne les responsabilités collectives que nous assumons les uns envers les autres et envers la Terre nourricière – prendre seulement ce dont nous avons besoin, en laisser suffisamment aux autres et maintenir le bol propre. Aujourd’hui, ce lieu de rassemblement est le foyer de nombreuses collectivités des Premières Nations, des Inuits et des Métis, et le fait de les reconnaître nous rappelle notre attachement profond à ce territoire où nous apprenons et nous travaillons.

Centre des ressources autochtones de l’Université Guelph

Ontario Tech University (Oshawa) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel de la Première Nation des Mississaugas de Scugog Island.

L’Institut universitaire de technologie de l’Ontario tient à reconnaître les territoires sur lesquels cet établissement est érigé, de même que le peuple de la Première Nation des Mississaugas de Scugog Island. Nous sommes très heureux d’être accueillis sur ce territoire en toute amitié. Les terres sur lesquelles nous nous trouvons sont visées par les traités Williams et font partie du territoire traditionnel des Mississaugas, une ramification de la grande nation des Anichinabés à laquelle appartiennent les Algonquins, les Ojibwés, les Odawas et les Potéouatamis. Aujourd’hui, ces territoires sont encore habités par plusieurs peuples et nations autochtones.    

Énoncé de reconnaissance fourni par l’association des professeures et des professeurs de l’Institut universitaire de technologie de l’Ontario (IUTO)

University of Toronto (Toronto)

1/ Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Wendats, des Anishinabés, des Haudenosaunees, des Métis et des Mississaugas de la Première Nation Credit.

On appelle communément le traité signé relativement à cette parcelle de terrain précise le traité Achat de Toronto. Il s’applique aux terres allant de l’est de Brown’s Line jusqu’à l’avenue Woodbine, et du nord vers Newmarket.

Toronto District School Board, Centre d'éducation autochtone

2/ Je tiens (nous tenons) à reconnaître l’histoire de ces terres sur lesquelles est érigée l’Université de Toronto. Elles font partie depuis des milliers d’années du territoire traditionnel des Hurons-Wendats, des Sénécas et, plus récemment, des Mississaugas de Credit River. Aujourd’hui, ce lieu de rassemblement est encore le foyer de nombreux Autochtones de l’Île aux tortues, et nous sommes reconnaissants de pouvoir travailler sur ce territoire.

Acknowledgement provided by Assistant Vice-President & Chief of Protocol, Office of President, University of Toronto

University of Toronto (Mississauga) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Haudenosaunees et des Anishinabés. Ce territoire est visé par les traités du Haut-Canada et fait partie des terres protégées par l’accord de la ceinture de wampum dit du « bol à une seule cuillère ».

University of Toronto (Scarborough)

1/ Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Wendats, des Anishinabés, des Haudenosaunees, des Métis et des Mississaugas des Premières Nations de Scugog, de Hiawatha et d’Alderville.

On appelle communément les traités signés relativement à cette parcelle de terrain précise les traités Williams de 1923; ces traités s'appliquent aux terres à l’est de l'avenue Woodbine.

Toronto District School Board, Centre d'éducation autochtone

2/ Je tiens (nous tenons) à reconnaître l’histoire de ces terres sur lesquelles est érigée l’Université de Toronto. Elles font partie depuis des milliers d’années du territoire traditionnel des Hurons-Wendats, des Sénécas et, plus récemment, des Mississaugas de Credit River. Aujourd’hui, ce lieu de rassemblement est encore le foyer de nombreux Autochtones de l’Île aux tortues, et nous sommes reconnaissants de pouvoir travailler sur ce territoire.

Acknowledgement provided by Assistant Vice-President & Chief of Protocol, Office of President, University of Toronto

University of Waterloo – Nous tenons [Je tiens] à souligner que nous nous trouvons sur le territoire traditionnel des peuples attawandaron (Neutres), anishinabé et haudenosaunee. L’Université de Waterloo est située sur la concession de Haldimand, parcelle de terrain promise aux Six Nations, d’une largeur de six milles sur chaque rive de la rivière Grand.

University of Western Ontario (London)

Nous tenons [Je tiens] à reconnaître l’histoire du territoire traditionnel sur lequel cette université est érigée. Nous tenons [Je tiens] également à respecter les relations de longue date des trois groupes locaux de Premières nations présents sur ces terres et emplacement dans le Sud-Ouest de l’Ontario.

Les Attawandarons (Neutres) se sont autrefois installés dans cette région au côté des peuples algonquin et haudenosaunee, et ces terres faisaient partie de leurs territoires traditionnels de chasse aux castors.

Trois autres groupes autochtones sont établis depuis longtemps dans cette région géographique :

  • les Anishinabés (également connus sous le nom de la Confédération des Trois Feux, formée des nations ojibwé, odawa et pottawatomi);
  • les Haudenosaunees (communément appelés « Iroquois » ou « Six Nations », c’est-à-dire les Mohawks, les Onneiouts, les Cayougas, les Onontagués, les Sénécas et les Tuscaroras);
  • les Lennis-Lenapes (également connus sous le nom de Delawares et/ou Munsees).

Les trois collectivités des Premières Nations vivant le plus près de cette université sont :

  • la Première Nation des Chippewas de la Thames (fait partie des Anishinabés);
  • la Nation Oneida de la Thames (fait partie des Haudenosaunees);
  • la Nation Munsee-Delaware (fait partie des Lennis-Lenapes).
Services authochtones, University of Western Ontario

University of Windsor
1/ Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Attawandarons (Neutres), des Anishinabés et des Haudenosaunees.

2/ L’Université de Windsor est située sur le territoire traditionnel de la Confédération des Trois Feux, formée des nations ojibwé, odawa et pottawatomi.

— Formule de reconnaissance communiquée par le Centre d’éducation autochtone de l’Université de Windsor :

ilfrid Laurier University (Kitchener-Waterloo) – Nous tenons [Je tiens] à souligner que nous nous trouvons sur la concession de Haldimand, territoire traditionnel des Neutres, des Anishinabés et des Haudenosaunees.

— Formule de reconnaissance communiquée par le Bureau du vice-recteur à l’enseignement et doyen 

York University (Toronto) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Wendats, des Anishinabés, des Haudenosaunees, des Métis et des Mississaugas de la Première Nation Credit.

On appelle communément le traité signé relativement à cette parcelle de terrain précise le traité Achat de Toronto. Il s’applique aux terres allant de l’est de Brown’s Line jusqu’à l’avenue Woodbine, et du nord vers Newmarket.

Toronto District School Board, Centre d'éducation autochtone

Manitoba

Brandon University – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire visé par le traité no 2 et que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des peuples anishinabé, cri, oji-cri, assiniboine, dakota et déné, et de la patrie de la nation métisse. Les collectivités des Premières Nations visées par le traité no 2 sont Dauphin River, Ebb and Flow, Keeseekoowenin, Lake St. Martin, Lake Manitoba, Little Saskatchewan, O-Chi-Chak-Ko-Sipi, Pinaymootang et Skownan.

St. John’s College (Winnipeg) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire visé par le traité no 1 et que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des peuples anishinabé, cri, oji-cri, dakota et déné, et de la patrie de la nation métisse.

Université de Saint-Boniface (Winnipeg) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire visé par le traité no 1 et que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des peuples anishinabé, cri, oji-cri, dakota et déné, et de la patrie de la nation métisse.

University College of the North (The Pas) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des Cris, Inninnowuks, Dénés, Saulteaux, Oji-Cris, Anishinabés et Métis.

University of Manitoba (Winnipeg)

1/ Les campus de l’Université du Manitoba sont situés sur les terres d’origine des peuples anishinabé, cri, oji-cri, dakota et déné et dans la patrie de la nation métisse.

Nous respectons les traités qui ont été conclus relativement à ces territoires, nous reconnaissons les préjudices et les erreurs du passé, et nous nous engageons à aller de l’avant en partenariat avec les collectivités autochtones dans un esprit de réconciliation et de coopération.

Information obtenue auprès du Bureau des réalisations autochtones de l’Université du Manitoba

2/ Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire visé par le traité no 1 et que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des peuples anishinabé, cri, oji-cri, dakota et déné, et de la patrie de la nation métisse.

University of Winnipeg – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire visé par le traité no 1 et que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des peuples anishinabé, cri, oji-cri, dakota et déné, et de la patrie de la nation métisse.

Saskatchewan

St. Thomas More College (Saskatoon) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire visé par le traité no 6, le territoire traditionnel des Cris et la patrie de la nation métisse.

University of Regina – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire visé par les traités nos 4 et 6 et du territoire traditionnel des Cris et Saulteaux, des Assiniboines et des Métis.

University of Saskatchewan (Saskatoon)

1/ Nous reconnaissons que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés aujourd’hui font partie du territoire visé par le traité no 6 et de la patrie des Métis. Nous rendons hommage aux ancêtres des Premières Nations et des Métis de ces lieux et nous réaffirmons nos relations les uns avec les autres.

— Formule de reconnaissance établie par les membres autochtones du corps professoral et du personnel de l’Université de la Saskatchewan

2/ Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire visé par le traité no 6, le territoire traditionnel des Cris et la patrie de la nation métisse.

Alberta

Alberta College of Art & Design (Calgary) – Je souhaite profiter de l’occasion pour souligner que nous nous trouvons sur les territoires traditionnels des Niitsitapi (Pieds-Noirs) et des peuples de la région du traité no 7 du sud de l’Alberta, c’est-à-dire les Premières Nations Siksika, Pikuni, Kainai, Tsuut’ina et Stoney Nakoda, y compris les Premières Nations Chiniki, Bearpaw et Wesley. La ville de Calgary est également la patrie de la nation métisse de la région III de l’Alberta.

Athabasca University – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire visé par le traité no 6, le territoire traditionnel des Cris des plaines, des Cris des bois, des Cris-Castors, des Saulteaux, des Pieds-Noirs, des Métis et des Sioux des Nakota.

Bow Valley College (Calgary) – Je souhaite profiter de l’occasion pour souligner que nous nous trouvons sur les territoires traditionnels des Niitsitapi (Pieds-Noirs) et des peuples de la région du traité no 7 du sud de l’Alberta, c’est-à-dire les Premières Nations Siksika, Pikuni, Kainai, Tsuut’ina et Stoney Nakoda, y compris les Premières Nations Chiniki, Bearpaw et Wesley. La ville de Calgary est également la patrie de la nation métisse de la région III de l’Alberta.

Concordia University College (Edmonton) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire visé par le traité no 6, un lieu de rencontre traditionnel et la patrie de nombreux peuples autochtones, dont les Cris, les Saulteaux, les Pieds-Noirs, les Métis et les Sioux des Nakota.

Grant MacEwan University (Edmonton) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire visé par le traité no 6, un lieu de rencontre traditionnel et la patrie de nombreux peuples autochtones, dont les Cris, les Saulteaux, les Niitsitapi (Pieds-Noirs), les Métis et les Sioux des Nakota.

Lethbridge College – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire visé par le traité no 7 et du territoire traditionnel des Niitsitapi (Pieds-Noirs), Nakoda (Stoney) et Tsuut’ina.

Northern Lakes College  – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous sommes situés sur le territoire du Traité 8 et sur les régions 4, 5 et 6 de la Nation métisse de l'Alberta, les terres traditionnelles des Premières Nations et des peuples métis.

— Relations extérieures​, Northern Lakes College

NorQuest College (Edmonton) – Je tiens d’abord à souligner que nous nous trouvons sur les terres traditionnelles désignés comme territoire visé par le traité no 6 et que tous les peuples qui y vivent sont signataires de ce traité de paix et d’amitié. Le traité no 6 s’applique aux territoires traditionnels des nombreuses Premières Nations de l’Ouest canadien, y compris les Cris, les Dénés (DEN–Ē), les Sioux Stoney Nakoda, les Saulteaux (SO-TO), et les Ojibwés (OJIB-WĒ). Le Collège NorQuest a le mandat de faire reconnaître et respecter l’esprit du traité no 6.

— (Vous pouvez écouter un enregistrement audio de cette formule de reconnaissance en anglais ici).

Northern Alberta Institute of Technology (Edmonton) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire visé par le traité no 6, un lieu de rencontre traditionnel et la patrie de nombreux peuples autochtones, dont les Cris, les Saulteaux, les Niitsitapi (Pieds-Noirs), les Métis et les Sioux des Nakota.

Olds College – Je souhaite profiter de l’occasion pour souligner que nous nous trouvons sur les territoires traditionnels des Niitsitapi (Pieds-Noirs) et des peuples de la région du traité no 7 du sud de l’Alberta, c’est-à-dire les Premières Nations Siksika, Pikuni, Kainai, Tsuut’ina et Stoney Nakoda, y compris les Premières Nations Chiniki, Bearpaw et Wesley. Cette région est également la patrie de la nation métisse de la région III de l’Alberta.

Red Deer College – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés se trouvent dans les lieux de rencontre des régions visées par les traités nos 6 et 7. Il s’agit du territoire traditionnel des Niitsitapi (Pieds-Noirs) (y compris les Siksika, les Pikuni et les Kainai), des Tsuut’ina, Stoney Nakoda, Cris, Saulteaux et Métis.

Southern Alberta Institute of Technology (Calgary) – Je souhaite profiter de l’occasion pour souligner que nous nous trouvons sur les territoires traditionnels des Niitsitapi (Pieds-Noirs) et des peuples de la région du traité no 7 du sud de l’Alberta, c’est-à-dire les Premières Nations Siksika, Pikuni, Kainai, Tsuut’ina et Stoney Nakoda, y compris les Premières Nations Chiniki, Bearpaw et Wesley. La ville de Calgary est également la patrie de la nation métisse de la région III de l’Alberta.

St. Mary’s University (Calgary) – Nous souhaitons [Je souhaite] profiter de l’occasion pour souligner que nous nous trouvons sur les territoires traditionnels des Niitsitapi (Pieds-Noirs) et des peuples de la région du traité no 7 du sud de l’Alberta, qui incluent les Premières Nations Siksika, Pikuni, Kainai, Tsuut’ina et Stoney Nakoda. La ville de Calgary est également la patrie de la nation métisse de la région III de l’Alberta.

University of Alberta (Edmonton)

1/ Nous tenons [Je tiens] à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire visé par le traité no 6, un lieu de rencontre traditionnel et la patrie de nombreux peuples autochtones, dont les Cris, les Saulteaux, les Pieds-Noirs, les Métis et les Sioux des Nakota.

2/ Le 1er mai 2012, le conseil de soutien aux initiatives autochtones de l’Université de l’Alberta a adopté la formule de reconnaissance suivante :

Bienvenue à l’Université de l’Alberta. Je tiens d’abord à souligner que nous nous trouvons aujourd’hui sur un territoire traditionnel, une terre d’accueil pour les peuples du monde entier. Je souhaite donc rendre hommage aux divers peuples autochtones dont l’empreinte a marqué ce territoire au fil des siècles, tels que les Cris, les Saulteaux, les Pieds-Noirs, les Métis et les Sioux des Nakota.

Approuvé le 1er mai 2012 par the uAlberta Council on Aboriginal Initiatives

University of Alberta, Augustana Campus (Camrose) – Nous tenons [Je tiens] à souligner que le territoire sur lequel le campus Augustana de l’Université de l’Alberta est situé constituait une voie de transport et une terre d’accueil tant pour les Cris, les Pieds-Noirs et les Métis que pour les Nakodas, les Tsuut’ina, les Chippewas et d’autres peuples autochtones. Le rapport spirituel et concret à la terre est la source d’un riche patrimoine pour notre érudition et notre vie communautaire.

Aboriginal Student Offices, University of AlbertaAugustana Campus

University of Calgary

Formule de reconnaissance de base – Je souhaite profiter de l’occasion pour souligner que nous nous trouvons sur les territoires traditionnels des peuples de la région du traité no 7 du sud de l’Alberta. La ville de Calgary est également la patrie de la nation métisse de la région III de l’Alberta.

Formule de reconnaissance spécifique du territoire tribal – Je souhaite profiter de l’occasion pour souligner que nous nous trouvons sur les territoires traditionnels des Pieds-Noirs et des peuples de la région du traité no 7 du sud de l’Alberta, qui incluent les Premières Nations Siksika, Pikuni, Kainai, Tsuut’ina et Stoney Nakoda. La ville de Calgary est également la patrie de la nation métisse de la région III de l’Alberta.

Formule longue de reconnaissance – Je souhaite profiter de l’occasion pour souligner que nous nous trouvons sur les territoires traditionnels des Pieds-Noirs et des peuples de la région du traité no 7 du sud de l’Alberta, qui incluent les Premières Nations Siksika, Pikuni, Kainai, Tsuut’ina et Stoney Nakoda. Je voudrais également souligner que l’Université de Calgary est érigée sur les terres adjacentes au confluent des rivières Bow et Elbow, et que le nom traditionnel Pieds-Noirs donné à ce lieu est « Mohkinstsis », que nous appelons maintenant la ville de Calgary.

La ville de Calgary est également la patrie de la nation métisse de la région III de l’Alberta.

— Acknowledgment provided by Director of Indigenous Education Initiatives, University of Calgary

University of Lethbridge – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire visé par le traité no 7 et du territoire traditionnel des Niitsitapi (Pieds-Noirs), Nakoda (Stoney) et Tsuut’ina.

Colombie-Britannique

[1]*Note

British Columbia Institute of Technology (Vancouver) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner la chance que nous avons de pouvoir nous rassembler sur le territoire non cédé des peuples Salish du littoral[2].

— Directrice générale des initiatives et partenariats autochtones

British Columbia Institute of Technology (Burnaby) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner la chance que nous avons de pouvoir nous rassembler sur le territoire non cédé des peuples Salish du littoral[3].

— Directrice générale des initiatives et partenariats autochtones

Camosun College (Saanich)

1/ Le Camosun College dessert les communautés du sud de l'île de Vancouver et du sud des îles du Gulf qui se trouvent sur les territoires traditionnels des nations Lkwungen (Esquimalt et Songhees), Malahat, Pacheedaht, Scia’new, T’Sou-ke et W̱SÁNEĆ (Pauquachin, Tsartlip, Tsawout, Tseycum). Nous saluons nos hôtes traditionnels et les remercions de la bienveillance avec laquelle ils accueillent les étudiants qui viennent ici acquérir des connaissances.

— Formule de reconnaissance communiquée par le directeur de l’éducation autochtone et des liens communautaires, Camosun College

2/ Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie des territoires traditionnels des nations Lkwungen (Esquimalt et Songhees), Malahat, Pacheedaht, Scia’new, T’Sou-ke et W̱SÁNEĆ (Pauquachin, Tsartlip, Tsawout, Tseycum).

Camosun College (Victoria) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des peuples Salish du littoral et des détroits2. Cette université est érigée à l’emplacement d’un ancien village Lekwungen. Cette région est visée par les traités Douglas.

Capilano University (North Vancouver) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire non cédé des peuples Salish du littoral[4], y compris les territoires des nations xʷməθkwəy̓əm (Musqueam), Skwxwú7mesh (Squamish), Stó:lō et səlilwətaɬ/Selilwitulh (Tsleil-Waututh).

College of New Caledonia (Prince George) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel non cédé des Lheidli T'enneh (Klate-lee Ten-eh).

Les mots « T’enneh » et « Lheidli » signifient « peuple issu de la confluence de deux rivières ».

College of the Rockies (Cranbrook) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel non cédé des peuples Ktunaxa et Kinbasket. Cinq collectivités des Premières Nations sont établies dans la limite régionale du collège : quatre collectivités Ktunaxa et une Secwepemc (Shuswap). Nous sommes reconnaissants de l’occasion qui nous est donnée de travailler sur ce territoire.

Douglas College (New Westminster) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nos campus sont érigés sur des territoires traditionnels et ancestraux non cédés du people Salish de la Côte, notamment les territoires des Premières Nations q̓íc̓əy̓ (Katzie), qʼʷa:n̓ƛʼən̓ (Kwantlen), kʷikʷəƛ̓əm (Kwikwetlem), xʷməθkʷəy̓əm (Musqueam) et qiqéyt (Qayqayt).

— Douglas College

Emily Carr University of Art & Design (Vancouver) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire non cédé des peuples Salish du littoral[5], y compris les territoires des nations xʷməθkwəy̓əm (Musqueam), Skwxwú7mesh (Squamish), Stó:lō et səlilwətaɬ/Selilwitulh (Tsleil-Waututh).

Kwantlen Polytechnic University (Surrey) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel non cédé des peuples Salish du littoral[6], particulièrement les Premières Nations Kwantlen, Katzie, Semiahmoo et Tsawwassen.

Langara College (Vancouver) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire non cédé des peuples Salish du littoral[7], y compris les territoires des nations xʷməθkwəy̓əm (Musqueam), Skwxwú7mesh (Squamish), Stó:lō et səlilwətaɬ/Selilwitulh (Tsleil-Waututh).

Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner l que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire non cédé des Syilx (Okanagan).

Institut de technologie Nicola Valley (Merritt) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire non cédé des Nlaka’pamux.

Nicola Valley Institute of Technology (Burnaby) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie des territoires traditionnels communs des Premières Nations Sḵwx̱wú7mesh Úxwumixw (Squamish), Tsleil-Waututh et xʷməθkʷəy̓əm (Musqueam).

North Island College (Courtenay) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner l que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel de la Première Nation des K’ómoks, y compris les Sathloot, Sasitla, Leeksun, Puledge, Cha’chae et Tat’poos.

We [I] would like to being by acknowledging the Tsimshian people of the Allied Tribes of Lax Kw’alaams and Metlakatla on whose traditional territory this meeting will take place.

Coast Mountain College​ (Prince Rupert)[Tous les campus du Coast Mountain College desservent sept Premières Nations dans le nord-ouest de la Colombie-Britannique : Haida, Tsimshian, Nisga'a, Haisla, Gitxsan, Wet'suwet'en et Tahltan. Le Collège reconnaît que ses campus sont érigés sur le territoire traditionnel de ces nations.]

Nous tenons [Je tiens] d’abord à rendre hommage à la nation Tsimshian des Tribus alliées de Lax Kw’alaams et Metlakatla sur le territoire traditionnel desquelles se déroule la présente réunion.

Coast Mountain College (Terrace)[Tous les campus du Coast Mountain College desservent sept Premières Nations dans le nord-ouest de la Colombie-Britannique : Haida, Tsimshian, Nisga'a, Haisla, Gitxsan, Wet'suwet'en et Tahltan. Le Collège reconnaît que ses campus sont érigés sur le territoire traditionnel de ces nations.]

Nous tenons [Je tiens] d’abord à rendre hommage à la nation Tsimshian de Kitsumkalum, particulièrement le clan Laxgibuu, sur le territoire traditionnel de laquelle se déroule la présente réunion.

Coast Mountain College (Kitimat)[Tous les campus du Coast Mountain College desservent sept Premières Nations dans le nord-ouest de la Colombie-Britannique : Haida, Tsimshian, Nisga'a, Haisla, Gitxsan, Wet'suwet'en et Tahltan. Le Collège reconnaît que ses campus sont érigés sur le territoire traditionnel de ces nations.]

Nous tenons [Je tiens] d’abord à rendre hommage à la nation Haisla de Kitamaat Village, sur le territoire traditionnel de laquelle se déroule la présente réunion.

Coast Mountain College (Hazelton)[Tous les campus du Coast Mountain College desservent sept Premières Nations dans le nord-ouest de la Colombie-Britannique : Haida, Tsimshian, Nisga'a, Haisla, Gitxsan, Wet'suwet'en et Tahltan. Le Collège reconnaît que ses campus sont érigés sur le territoire traditionnel de ces nations.]

Nous tenons [Je tiens] d’abord à rendre hommage à la nation Gitxsan de Nikateen, sur le territoire traditionnel de laquelle se déroule la présente réunion.

Coast Mountain College (Smithers)[Tous les campus du Coast Mountain College desservent sept Premières Nations dans le nord-ouest de la Colombie-Britannique : Haida, Tsimshian, Nisga'a, Haisla, Gitxsan, Wet'suwet'en et Tahltan. Le Collège reconnaît que ses campus sont érigés sur le territoire traditionnel de ces nations.]

Nous tenons [Je tiens] d’abord à rendre hommage à la nation Wet'suwet'en, sur le territoire traditionnel de laquelle se déroule la présente réunion.

Coast Mountain College (Houston)[Tous les campus du Coast Mountain College desservent sept Premières Nations dans le nord-ouest de la Colombie-Britannique : Haida, Tsimshian, Nisga'a, Haisla, Gitxsan, Wet'suwet'en et Tahltan. Le Collège reconnaît que ses campus sont érigés sur le territoire traditionnel de ces nations.]

Nous tenons [Je tiens] d’abord à rendre hommage à la nation Wet'suwet'en du clan Laksilyu, sur le territoire traditionnel de laquelle se déroule la présente réunion.

Okanagan College (region-wide) – Nous aimerions [J’aimerais] reconnaître en toute déférence que nos campus de Penticton, Kelowna et Vernon sont situés sur le territoire traditionnel non cédé de la tribu des Okanagan Syilxes, que notre campus de Salmon Arm se trouve sur le territoire traditionnel non cédé de la tribu Secwepemc, et que notre centre de Revelstoke se trouve sur les territoires traditionnels non cédés des tribus Ktunaxa, Secwepemc, Sinixt et Syilx Okanagan.

Okanagan College (Regional – Shuswap – Revelstoke​) – Nous aimerions [J’aimerais] reconnaître en toute déférence que notre campus de Salmon Arm se trouve sur le territoire traditionnel non cédé de la tribu Secwepemc, et que notre centre de Revelstoke se situe sur les territoires traditionnels non cédés des tribus Ktunaxa, Secwepemc, Sinixt et Syilx Okanagan.

Okanagan College (Salmon Arm​​) – Nous aimerions [J’aimerais] reconnaître en toute déférence que notre campus de Salmon Arm se trouve sur le territoire traditionnel non cédé de la tribu Secwepemc.

Okanagan College (Kelowna​​) – Nous aimerions [J’aimerais] reconnaître en toute déférence que notre campus de Kelowna se trouve sur le territoire traditionnel non cédé de la tribu Okanagan Syilxes.

Okanagan College (Penticton​​) – Nous aimerions [J’aimerais] reconnaître en toute déférence que notre campus de Penticton se trouve sur le territoire traditionnel non cédé de la tribu Okanagan Syilxes.

Okanagan College (Vernon​​) – Nous aimerions [J’aimerais] reconnaître en toute déférence que notre campus de Vernon se trouve sur le territoire traditionnel non cédé de la tribu Okanagan Syilxes.

Okanagan College (Revelstoke​​) – Nous aimerions [J’aimerais] reconnaître en toute déférence que notre centre de Revelstoke se trouve sur les territoires traditionnels non cédés des tribus Ktunaxa, Secwepemc, Sinixt et Okanagan Syilxes.

— Formules de reconnaissance communiquées par le coordonnateur du Bureau des peuples autochtones, Okanagan College.

Royal Roads University (Victoria) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des peuples Salish du littoral et des détroits. Cette université est érigée à l’emplacement d’un ancien village Lekwungen. Cette région est visée par les traités Douglas.

Selkirk College (Castlegar) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel non cédé des nations Ktunaxa, Okanagan et Sinixt.

Simon Fraser University (Burnaby) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel des peuples Salish du littoral[8], particulièrement les territoires traditionnels communs des Premières Nations Sḵwx̱wú7mesh Úxwumixw (Squamish), Tsleil-Waututh et xʷməθkʷəy̓əm (Musqueam).

Formule de reconnaissance communiquée par le directeur du Bureau des peuples autochtones, Université Simon-Fraser

Simon Fraser University (Surrey) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel non cédé des peuples Salish du littoral[9], particulièrement les Premières Nations Kwantlen, Semiahmoo, Tsawwassen, Katzie, Kwantlen, Kwikwetlem, Qayqayt et bon nombre de nations Stó:lō.

Formule de reconnaissance communiquée par le directeur du Bureau des peuples autochtones, Université Simon-Fraser

Simon Fraser University (Vancouver) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire non cédé des peuples Salish du littoral[10], y compris les territoires des nations xʷməθkwəy̓əm (Musqueam), Skwxwú7mesh (Squamish), Stó:lō et səlilwətaɬ/Selilwitulh (Tsleil-Waututh).

Formule de reconnaissance communiquée par le directeur du Bureau des peuples autochtones, Université Simon-Fraser

Thompson Rivers University (Kamloops) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sont situées sur le territoire des Tk’emlups te Secwepemc qui se trouve dans la partie intérieure sud de la Colombie Britannique dans les limites des terres traditionnelles non cédées de la nation Secwepemc.

— Formules de reconnaissance communiquées par l’association du personnel académique de l’Université Thompson-Rivers 

Thompson Rivers University (Williams Lake) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sont situées sur le territoire des T’exelcemc.

— Formules de reconnaissance communiquées par l’association du personnel académique de l’Université Thompson-Rivers 

Thompson Rivers University (100 Mile House) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sont situées sur le territoire des Tsq’escenemc.

— Formules de reconnaissance communiquées par l’association du personnel académique de l’Université Thompson-Rivers

Thompson Rivers University (Ashcroft) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sont situées sur le territoire de la Première Nation d’Ashcroft (nation Nlak’pamux).

— Formules de reconnaissance communiquées par l’association du personnel académique de l’Université Thompson-Rivers

Thompson Rivers University (Barriere) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sont situées sur le territoire des Simpcw.

— Formules de reconnaissance communiquées par l’association du personnel académique de l’Université Thompson-Rivers

Thompson Rivers University (Clearwater) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sont situées sur le territoire des Simpcw.

— Formules de reconnaissance communiquées par l’association du personnel académique de l’Université Thompson-Rivers

Thompson Rivers University (Lillooet) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sont situées sur le territoire des St’at’imc, qui comprend Bridge River (Nxwisten), Pavilion (Ts’kw’aylacw), Cayoose Creek (Sekw’el’was), Mount Currie (Lil’wat), Seton Lake (Chalath), Lillooet (T’it’q’et), Fountain (Xaxl’ip), Anderson Lake (N’quatqua), Douglas (Xa’xtsa), Skatin et Samahquam.

— Formules de reconnaissance communiquées par l’association du personnel académique de l’Université Thompson-Rivers 

University of British Columbia (Vancouver) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire non cédé des peuples Salish du littoral[11], y compris les territoires des nations xʷməθkwəy̓əm (Musqueam), Skwxwú7mesh (Squamish), Stó:lō et səlilwətaɬ/Selilwitulh (Tsleil-Waututh).

University of the Fraser Valley (Abbotsford) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel non cédé de la nation Stó:lō (peuple né du fleuve).

University of British Columbia, Okanagan Campus (Kelowna) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire non cédé des Syilx (Okanagan) et particulièrement du territoire de la Première Nation de Westbank.

University of British Columbia, Point Grey Campus (Vancouver) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel, ancestral et non cédé de la nation xʷməθkwəy̓əm (Musqueam).

University of Northern British Columbia (Prince George) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel non cédé des Lheidli T'enneh (Klate-lee Ten-eh).

Les mots « T’enneh » et « Lheidli » signifient « peuple issu de la confluence de deux rivières ».

University of Victoria – Nous reconnaissons et respectons [Je reconnais et respecte] les peuples parlant le Lekwungen sur les territoires traditionnels desquels l’université est érigée, ainsi que les peuples Songhees, Esquimalt et WSANEC dont les liens qu’ils entretiennent historiquement avec la terre se poursuivent à ce jour.

— Formule de reconnaissance communiquée par la directrice de l’engagement universitaire et communautaire autochtone, Maison des Premières Nations, Université de Victoria :

Vancouver Community College – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire traditionnel non cédé des peuples Salish du littoral[12], les territoires traditionnels des Premières Nations Squamish, Musqueam et Tsleil-Waututh.

— Formule de reconnaissance communiquée par le Vancouver Community College, Bureau du vice-recteur à l’enseignement et à la recherche 

Vancouver Island University – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire traditionnel non cédé des peuples Salish du littoral[13]>, les territoires traditionnels des Premières Nations Snuneymuxw, Snaw-naw-as.

Vancouver Island University (Nanaimo) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire traditionnel non cédé des peuples Salish du littoral[13]>, le territoire traditionnel de la Première Nation Snuneymuxw.

Vancouver Island University (Duncan) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire traditionnel non cédé des peuples Salish du littoral[13]>, le territoire traditionnel des tribus Quw’utsun (Cowichan).

Vancouver Island University (Powell River) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire traditionnel non cédé des peuples Salish du littoral[13]>, le territoire traditionnel de la Première Nation Tla’amin.

Vancouver Island University (Parksville) – Nous tenons [Je tiens] d’abord à souligner que nous nous trouvons sur le territoire traditionnel non cédé des peuples Salish du littoral[13]>, le territoire traditionnel de la Première Nation Snaw-naw-as.

Notes

1 Voir le Pronunciation Guide For Indigenous Communities in BC : http://bannockandbutter.tumblr.com/post/31780109220/pronunciation-guide-for-indigenous-communities-in
2Il convient de noter qu’il s’agit d’un terme linguistique désignant la famille de langues des Salish du littoral. Cette famille englobe un grand nombre de Premières Nations dont le territoire traditionnel se trouve sur l’île de Vancouver et aux États-Unis.
3 Ibid
4 Ibid
5 Ibid
6 Ibid
7 Ibid
8 Ibid
9 Ibid
10 Ibid
11 Ibid
12 Ibid
13 Ibid